Listing 1 - 10 of 131 << page
of 14
>>
Sort by

Book
Le culte du vaudou : histoire, pensée, vie
Author:
ISBN: 1412368928 Year: 2010 Publisher: Chicoutimi, Quebec : J.-M. Tremblay,

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract


Book
Attente de Dieu
Author:
ISBN: 1412358086 Year: 2007 Publisher: Chicoutimi : J.-M. Tremblay,

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract

Ces textes, rassemblés sous le titre, Attente de Dieu, sont parmi les plus beaux que Simone Weil m'ait laissés ; ils ont tous été composés entre janvier et juin 1942 ils se rattachent tous, de plus ou moins loin, au dialogue que, depuis le mois de juin précédent, nous poursuivions ensemble à l'écoute de la Vérité, elle, attirée par le Christ, moi, prêtre depuis treize ans. En 1949 j'avais consenti à publier ces textes et surtout la correspondance - qui en est la partie la plus belle - afin de faire connaître les pages les plus éclairantes de son expérience intérieure et de sa personnalité ; mais la raison de cette publication était surtout, comme Simone en avait exprimé explicitement le désir lors de nos diverses rencontres, de donner à d'autres la possibilité d'entrer dans ce dialogue. Nous en avions parlé souvent, j'en suis témoin, et c'est dans cet esprit qu'elle me donna ces textes et ceux d'Intuitions pré-chrétiennes. Dans sa lettre d'adieu, elle m'écrivait, me parlant de ses pensées : « Je ne vois que vous dont je puisse implorer l'attention en leur faveur. Votre charité, dont vous m'avez comblée, je voudrais qu'elle se détourne de moi et se dirige vers ce que je porte en moi, et qui vaut, j'aime à le croire, beaucoup mieux que moi. » J'ai choisi le titre Attente de Dieu, parce qu'il était cher à Simone ; elle y voyait la vigilance du serviteur tendu vers le retour du maître. Ce titre exprime aussi le caractère inachevé qui, à cause même des nouvelles découvertes spirituelles qu'elle fit alors, tourmentait Simone. Ce rappel, si bref soit-il, est d'autant plus nécessaire que nous ne sommes pas, ici, en face de textes destinés à être publiés et conçus pour vivre en quelque sorte indépendamment de leur auteur. Ces textes, au contraire, les lettres surtout, font, si l'on peut ainsi dire, partie d'elle-même et on ne peut les comprendre sans les situer dans sa recherche, dans son évolution, et même dans le dialogue où elle s'était engagée. Simone Weil est née à Paris, le 3 février 1909. Elle ne reçut aucune éducation religieuse : « J'ai été élevée par mes parents et par mon frère dans un agnosticisme complet », m'écrivait-elle (Let. IV). Un des traits dominants de son enfance fut un amour compatissant pour les malheureux ; elle avait cinq ans environ lorsque la guerre de 1914 et le marrainage d'un soldat lui firent découvrir la misère. Elle ne voulut plus prendre un seul morceau de sucre afin de tout envoyer à ceux qui souffraient au front. Pour comprendre le caractère extraordinaire de cette compassion - qui sera un des traits dominants de sa vie - il faut se souvenir de l'aisance matérielle, de la largeur d'esprit et de l'affection dont ses parents ne cessèrent de l'entourer. La précocité de son intelligence lui valut tous les succès scolaires. C'est au lycée Duruy qu'elle fit son année de philosophie afin d'y recevoir l'enseignement de Le Senne ; à Henri-IV elle prépara le concours d'entrée à Normale et reçut profondément l'influence d'Alain. Elle avait dix-neuf ans quand elle fut reçue au concours de Normale et vingt-deux quand elle passa son agrégation : 1928-1931. Pendant les années d'école, elle se montra vivement « antitala » ; elle était même assez antireligieuse pour se brouiller quelques mois avec une camarade qui se convertissait au catholicisme. Elle abordait la vie d'enseignante et son action humaine dans un complet agnosticisme, ne voulant se poser le problème de Dieu et ne pouvant résoudre l'énigme de la destinée. À cette époque, elle entra en contact avec le mouvement syndicaliste et la Révolution prolétarienne. Désormais elle ne cessera de collaborer à ces mouvements, sans toutefois s'inscrire à aucun parti. jamais elle ne me parla des personnalités importantes qu'elle eut l'occasion de rencontrer ou d'aider, ni du rôle qu'elle eut à jouer ; elle savait ma pensée : si un prêtre se sent lié à tout le progrès humain, il doit se tenir aussi loin que possible de toute question politique. Pour elle, aussi, c'était l'amour des malheureux qui dominait. Un de ses compagnons de luttes sociales, jeune ouvrier, me disait : « Elle n'a jamais fait de politique », et il ajoutait : « Si tout le monde était comme elle, il n'y aurait plus de malheureux. » Cette compassion des malheureux est un des traits essentiels de sa vie profonde. Le Puy fut son premier poste ; là elle commencera à donner libre cours à cette communion réelle à la misère des autres. Pour avoir droit à l'allocation de chômage, les ouvriers étaient astreints à de durs travaux ; elle les voyait casser des cailloux. Comme eux et avec eux, elle voulut manier le pic. Elle les accompagna dans je ne sais quelle démarche de revendication à la préfecture. Elle en vint à se contenter, pour vivre, de la somme correspondant à l'allocation quotidienne de chômage, distribuant aux autres le surplus de ses ressources. Il arrivait de voir la porte du jeune professeur de philosophie, le jour où elle touchait ses appointements, assiégée par la file de ses nouveaux amis. On la verra même, plus tard, pousser la délicatesse jusqu'à donner largement de son temps -- ce temps qu'elle arrachait à ses livres passionnément aimés - pour jouer à la belote avec certains, s'essayer à chanter avec d'autres et se faire vraiment l'une d'entre eux. Pourtant, Simone était loin de se sentir satisfaite : à qui aime vraiment, la compassion est un tourment. En 1934 elle décida de prendre, dans toute sa dureté, la condition ouvrière. Elle y connut la faim, la fatigue, les rebuffades, l'oppression du travail à la chaîne, l'angoisse du chômage. Pour elle, ce n'était pas une « expérience », mais une incarnation réelle et totale. Son « journal d'usine » est un témoignage poignant. L'épreuve surpassa ses forces ; son âme fut comme écrasée par cette conscience du malheur, elle en restera marquée toute sa vie. Lorsque éclata, en 1936, la guerre d'Espagne, Simone - qui avait largement pris part aux grèves sur le tas (articles de la Révolution prolétarienne) - n'hésita pas à partir pour le front de Barcelone ; un accident causé par son manque d'habileté (elle s'ébouillanta avec de l'huile) l'en fit presque aussitôt évacuer. Elle ne parlait guère de cet événement de sa vie, si ce n'est pour rendre témoignage à tel ou tel de ses compagnons d'armes. En 1938, elle assiste à la semaine sainte à Solesmes et, quelques mois plus tard, c'est la grande illumination qui changea sa vie : « Le Christ est descendu et m'a prise. » Il est difficile de déterminer avec précision la date de cet événement car elle en garda jalousement le secret ; aucun de ses papiers personnels n'en parle ; aucun de ses intimes, semble-t-il, n'en eut confidence, à part la lettre à Joë Bousquet où elle y fait allusion et ce qu'elle m'en a dit de vive voix ou par écrit. Ce qui est évident, c'est qu'au milieu des tâtonnements de sa recherche, des oscillations de sa pensée, elle n'est jamais revenue là-dessus ; dans l'expérience de ce sentiment inconnu, elle porta un regard tout nouveau sur le monde, ses poésies et ses traditions religieuses et surtout sur l'action au service des malheureux où elle intensifia ses efforts. Puis, vint la guerre. Elle ne quitta Paris qu'après que la capitale fut déclarée ville ouverte. C'est alors qu'elle arriva à Marseille. La décision administrative frappant les juifs l'y atteignit. En juin 1941, elle vint me voir. Dans l'une de nos premières rencontres elle me parla de son désir de partager la condition et les labeurs du prolétariat agricole. je me rendis facilement compte qu'il ne s'agissait pas d'une idée irréfléchie, mais d'une volonté profonde ; je demandais alors à Gustave Thibon de servir ce projet ; elle passa ainsi plusieurs semaines dans la vallée du Rhône et connut le dur travail des vendanges. Comment présenter ces mois de Marseille ? Son extrême réserve et cette pudeur d'âme qu'elle cachait sous le ton inflexible et monotone de discussions d'idées la faisait parler peu d'elle-même et de ses activités. Mais cependant, pouvait-elle passer inaperçue ? Pour ce qui est de ses activités littéraires, elle était en contact avec les milieux des Cahiers du Sud et elle écrivait sous le pseudonyme d'Émile Novis (anagramme de son nom) ; on trouve d'elle plusieurs articles importants, notamment « l'Iliade ou le poème de la force », « l'agonie d'une civilisation vue à travers un poème épique », « en quoi consiste l'inspiration occitanienne », sans parler de quelques poèmes. Plus encore, le meilleur de son temps était consacré à des traductions de Platon, à des textes pythagoriciens qui ont paru sous le titre d'Intuitions pré-chrétiennes et à la composition des exposés qui constituent, en partie, ce livre, Attente de Dieu. Ces textes, elle les lisait à quelques amis, dans des réunions tout intimes où elle s'appliquait à communiquer son amour de la Grèce et surtout des réalités atteintes par les grands mystiques. Comme lectures de choix, à cette époque, il est assez remarquable qu'elle se soit attachée aux mémoires du Cardinal de Retz et aux Tragiques d'Aubigné. Lectures et écrits ne remplissaient pas sa vie ; le goût de son esprit et la volonté de compassion qui la caractérisèrent ne pouvaient la laisser étrangère à la vie des plus malheureux ; elle les recherchait et se mêlait à eux pour les connaître et les aider. Elle s'intéressa tout particulièrement aux Annamites démobilisés attendant leur rapatriement ; constatant l'injustice de leur sort, elle sut si bien manœuvrer qu'elle fit limoger le directeur du camp ! En une circonstance, cet amour des êtres lui sauva la vie : arrêtée pour gaullisme, longuement interrogée, menacée de prison « où elle, agrégée de philosophie, serait mêlée aux prostituées », elle faisait cette sensationnelle réponse : « J'ai toujours désiré connaître ce milieu et, pour y entrer, je n'ai jamais vu qu'il puisse y avoir pour moi un autre moyen que celui-là : la prison. » À ces mots, le juge de faire signe à son secrétaire de la relâcher comme folle ! Et, puisque nous en sommes au chapitre de la clandestinité, Simone se donna à la diffusion de Témoignage chrétien ; elle préférait ce mouvement à ceux qui existaient alors ; plus tard, pour obtenir de se faire parachuter en France, elle faisait valoir les liens qui l'unissaient avec les organisateurs du mouvement ; elle écrivait à ce propos à Maurice Schumann : « Je crois que c'est de loin ce qu'il y a de meilleur en France en ce moment. Puisse-t-il ne leur arriver aucun malheur ! » (Écrits de Londres, éd. Gallimard). Sa grande préoccupation restait pourtant la question religieuse : longuement elle scrutait l'Évangile, en discutait avec ses amis qui aimaient à la retrouver à la messe du dimanche ; fréquemment elle venait me voir et, pour avoir plus de solitude, assistait parfois, en semaine, à une messe matinale. N'est-ce pas à cette époque qu'elle m'écrivait : « Mon cœur a été transporté pour toujours, je l'espère, dans le Saint Sacrement exposé sur l'Autel. » Ce mot en dit long sur l'attrait qu'exerçait sur elle le silence vivant de nos églises ! Les semaines et les mois de Marseille passèrent vite ainsi. En mars 1942 je fus nommé à Montpellier, mais je revins assez souvent à Marseille pour la voir plusieurs fois avant son départ ; cet éloignement fut l'occasion de ses plus belles lettres. Le 16 mai 1942 elle s'embarquait avec ses parents. Arrivée à New York, elle employa toutes ses relations, toutes ses anciennes amitiés, pour se faire rappeler à Londres ; elle souffrait comme d'une désertion d'avoir quitté la France et lançait des appels tels ceux-ci : « Je vous en prie, faites-moi venir à Londres, ne me laissez pas dépérir de chagrin ici ! », « je fais appel à vous pour me sortir de la situation morale par trop douloureuse où je me trouve », « je vous supplie de me procurer, si vous le pouvez, la quantité de souffrances et de dangers utiles qui me préservera d'être stérilement consumée par le chagrin. je ne peux pas vivre dans la situation où je me trouve en ce moment. Cela me met tout près du désespoir. » (à M. Schumann.) Son amour des déshérités ne la quitta pas pour autant. « J'explore Harlem, écrivait-elle à un de ses amis, je vais tous les dimanches dans une église baptiste de Harlem où, sauf moi, il n'y a pas un Blanc. » Elle entrait en contact avec des jeunes filles noires, les invitait chez elle ; et ce même ami qui la connaissait bien me disait : « Il est certain que si Simone était restée à New York elle se serait faite Noire ! » Pourtant son cœur était dans l'univers : « Le malheur répandu sur la surface du globe terrestre m'obsède et m'accable au point d'annuler mes facultés et je ne puis les récupérer et me délivrer de cette obsession que si, moi-même, j'ai une large part de danger et de souffrance. C'est donc une condition pour que j'aie la capacité de travailler. » (à M. Schumann.) Londres, où elle arrivait en fin novembre 1942, lui causa une déception cruelle. Elle n'avait qu'un but : obtenir une mission pénible et dangereuse, se sacrifier utilement, soit pour sauver d'autres vies, soit pour accomplir quelque acte de sabotage. Elle le demande de vive voix ; elle insiste par écrit : « Je ne peux m'empêcher d'avoir l'impudeur, l'indiscrétion des mendiants. Comme les mendiants, je ne sais, en guise d'arguments, que crier mes besoins ... » Il était imprudent d'accepter. On la consacra à certains travaux de pensée. Ainsi passait-elle des heures dans son bureau, s'y nourrissant souvent d'un simple sandwich, y restant le soir et, quand elle avait laissé passer l'heure du dernier métro, y dormant, appuyée sur la table ou étendue par terre. Quand elle suppliait avec instance pour obtenir cette « mission », elle notait : « L'effort que je fais ici sera dans peu de temps arrêté par une triple limite. L'une morale, car la douleur de me sentir hors de ma place, croissant sans cesse, finira malgré moi, je le crains, par entraver ma pensée. L'autre intellectuelle ; il est évident qu'au moment de descendre vers le concret, ma pensée va s'arrêter faute d'objet. La troisième physique, car la fatigue grandit. » L'événement, hélas ! devait lui donner raison. En avril, il fallut se rendre à la réalité et la faire admettre à l'hôpital Middlesex ; les soins qu'elle y reçut ne purent la rétablir à cause de son extrême faiblesse causée aussi bien par la fatigue que par les privations. Elle désire la campagne et obtient d'être transférée au sanatorium d'Ashford où elle s'éteignait le 24 août 1943. À travers les textes des semaines précédant sa mort, il semble bien qu'elle restait encore très éloignée, en des points multiples, de la foi catholique en sa plénitude et elle sentait profondément que seule la mort la transporterait en cette vérité dont elle se savait encore éloignée. Elle fixait toujours son attention sur les points qui lui restaient obscurs [1] afin d'en recevoir la lumière -les grandes lignes dominant sa vie dont elle avait pris conscience dans les mois de Marseille et qui sont comme le fond d'Attente de Dieu. J.-M. Perrin.


Book
Catholicism and the problem of God
Author:
ISBN: 1009290665 1009467913 1009290649 1009290657 Year: 2023 Publisher: Cambridge : Cambridge University Press,

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract

This Element is an overview of the Catholic conception of God and of philosophical problems regarding God that arose during its historical development. After summarizing key Catholic doctrines, the first section considers problems regarding God that arose because Catholicism originally drew on both Jewish and Greek conceptions of God. The second section turns to controversies regarding God as Trinitarian and incarnate, which arose in early church councils, with reference to how that conception developed during the Middle Ages. In the third section, the author considers problems regarding God's actions towards creatures, including creation, providence, predestination, and the nature of divine action in itself. Finally, the last section considers problems regarding how we relate to God. The Element focuses on tensions among different Catholic spiritualities, and on problems having to do with analogical language about God and human desire for God.


Book
Naming God : addressing the divine in philosophy, theology and scripture
Author:
ISBN: 9781108993319 9781108834469 9781108995085 1108993311 Year: 2023 Publisher: Cambridge, United Kingdom ; New York, NY, USA : Cambridge University Press,

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract

Generations of Christians, Janet Soskice demonstrates, once knew God and Christ by hundreds of remarkable names. These included the appellations 'Messiah', 'Emmanuel', 'Alpha', 'Omega', 'Eternal', 'All-Powerful', 'Lamb', 'Lion', 'Goat', 'One', 'Word', 'Serpent' and 'Bridegroom'. In her much-anticipated new book, Soskice argues that contemporary understandings of divinity could be transformed by a return to a venerable analogical tradition of divine naming. These ancient titles - drawn from scripture - were chanted and sung, crafted and invoked (in polyphony and plainsong) as they were woven into the worship of the faithful. However, during the sixteenth century Descartes moved from 'naming' to 'defining' God via a series of metaphysical attributes. This made God a thing among things: a being amongst beings. For the author, reclaiming divine naming is not only overdue. It can also re-energize the relationship between philosophy and religious tradition. This path-breaking book shows just how rich and revolutionary such reclamation might be.


Book
Arbeit am Gottesbegriff.
Author:
Year: 2021 Publisher: Tübingen : Universitätsverlag Göttingen,

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract

Joachim Ringleben systematically explores the traces of linguistic thought in partly unprinted works: first in biblical contexts (prophetic speech, Ps 119, Paul), then in dogmatics concept, Christological dogma, h. Scripture and finally in the history of theology and philosophy in Augustin, Hegel Lord's Supper, St. John's Prologue, speculative logic, Kierkegaard (love of neighbor) and Jaspers doctrine of ciphers. Translated with www.DeepL.com/Translator free version.


Book
Biblical Theology of Life in the New Testament
Authors: ---
Year: 2021 Publisher: Cape Town, South Africa : AOSIS,

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract

This publication deals with A Biblical Theology of Life based on the New Testament. It forms the second of a two volume publication on A Biblical Theology of Life. These two volumes trace the concept of life throughout Protestant canon, working with the final form of the biblical books in Hebrew (vol. 5) and Greek (vol. 6) Scripture. This is done by providing the reader with a book-by-book overview of this concept. This book concludes with a final chapter synthesising the findings of the respective investigations of the Old and New Testament corpora in order to provide a summative theological perspective of the development of the concept through Scripture. It is clear that life forms a central and continuous theme throughout the Biblical text. The theme begins with the living God that creates life, but is shortly followed by death that threatens life. Despite this threat, God sustains life and awakens life from death. The text concludes with the consummation depicting eternal life in the new heaven and earth. The biblical theological approach that has been taken entails a thematic approach as it investigates the concept of life, with contextual foci on what individual books of Scripture teach about life, joined diachronically with an investigation of the progressive use of the concept of life in Scripture, while providing a theology of Scripture as a whole investigating the concept of life in all sixty-six books of the Protestant canon.


Book
Personality, human and divine : Being the Bampton lectures for the year 1894
Author:
Year: 1894 Publisher: London, United Kingdom : Macmillan and Co,

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract

These published lectures contend that, whereas physical science has nowise weakened, critical philosophy has distinctly strengthened the claim--the immemorial claim--of human personality, to be a spiritual thing; and, as such, the highest category under which we can conceive of God. And as this conception would lead us to expect a progressive revelation, the evidence of such a revelation is briefly traced, and its culmination in the Incarnation vindicated. Such notes have been appended as may serve to illustrate and emphasize the main position of the lectures, by reference to authorities where their various issues are more adequately discussed.


Book
God and the problems of love
Author:
ISBN: 1009269135 Year: 2023 Publisher: Cambridge : Cambridge University Press,

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract

Religious believers are often commanded to love like God. On classical accounts, God seems a poor model for human beings: an immutable and impassable being seems incapable of the kind of episodic emotion (sympathy, empathy) that seems required for the best sorts of human love. Models more conducive to human love, on the other hand, are often rejected because they seem to limit God's power and glory. This Element looks first at God and then divine love within the Abrahamic traditions-Islam, Christianity and Judaism. It will then turn to love and the problem of hell, which is argued as primarily a problem for Christians. The author discusses the kind of love each tradition asks of humans and wonders, given recent work in the relevant cognitive and social sciences, if such love is even humanly possible. This title is also available as Open Access on Cambridge Core.


Book
God and being
Author:
ISBN: 9781009026413 1009026410 9781009462518 9781009012768 Year: 2023 Publisher: Cambridge : Cambridge University Press,

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract

This Element examines how the Western philosophical-theological tradition between Plato and Aquinas understands the relation between God and being. It gives a historical survey of the two major positions in the period: (a) that the divine first principle is 'beyond being' (e.g. Plato, Plotinus, and Pseudo-Dionysius), and (b) that the first principle is 'being itself' (e.g. Augustine, Avicenna, and Aquinas). The Element argues that we can recognise in the two traditions, despite their apparent contradiction, complementary approaches to a shared project of inquiry into transcendence.


Book
The divine attributes
Author:
ISBN: 1108617840 1108580815 1108598102 1108468330 Year: 2019 Publisher: Cambridge : Cambridge University Press,

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract

The Divine Attributes explores the traditional theistic concept of God as the most perfect being possible, discussing the main divine attributes which flow from this understanding - personhood, transcendence, immanence, omnipresence, omniscience, omnipotence, perfect goodness, unity, simplicity and necessity. It argues that the atemporalist's conception of God is to be preferred over the temporalist's on the grounds of perfect being theology, but that, if it were to be the case that the temporal God existed, rather than the atemporal God, He'd still be 'perfect enough' to count as the God of Theism.

Listing 1 - 10 of 131 << page
of 14
>>
Sort by